J’ai toujours été un fêtard. La chance a voulu que j’aie très tôt une position professionnelle assez confortable et j’en ai profité pour dédier mon temps libre à l’amusement et à faire la fête. Comme je suis en plus assez beau gosse, je ne restais pas longtemps seul et j’avais une vie sexuelle assez intense.
Jusqu’à cette fois où j’étais avec ma petite amie de courte date et que j’ai eu une petite panne d’érection. Sur le coup, on a dit que c’est arrivé parce que j’ai bu trop d’alcool ou à cause de la fatigue et on a dormi sans plus trop nous inquiéter. Mais le même cas s’est répété trois fois de suite ce qui m’inquiétait et me stressait. J’ai rompu avec ladite copine en prétendant qu’elle ne me plaisait plus d’où mon impuissance à conclure et à la satisfaire, ce dont j’étais vraiment convaincu il faut dire.
J’ai essayé d’avoir des relations avec d’autres filles mais il y avait toujours ce même constat d’échec. Il y a eu même une fois où je suis allé voir une prostituée question de voir ce que ça donne mais l’érection n’est jamais venue.
J’ai cherché sur Google pour voir ce que les gens en disaient, plusieurs disaient qu’une vie trop tumultueuse comme la mienne pouvait expliquer cette impuissance que j’espérais de tout cœur passagère. J’ai décidé du coup de baisser ma consommation de tabac et d’alcool, de mieux dormir et de moins faire la fête. Et il me tardait de voir les resultats de cette vie plus hygiénique se ressentir sur ma vie sexuelle mais rien n’allait mieux. Et je commençais vraiment à m’inquiéter de voir une situation que je croyais temporaire devenir une situation permanente.
J’avais entendu de tels problèmes survenir aux hommes quadragénaires mais moi je n’avais que 28 ans et j’étais encore célibataire. Je ne me trouvais pas seulement impuissant mais aussi stérile. Je devenais triste et hagard et mon état se ressentait sur mon travail et mes relations. Je suis devenu solitaire et calme. Et mes parents soupçonnaient que je souffre d’une dépression nerveuse. Moi je ne savais pas quoi leur dire ni expliquer. J’hésitais même à aller consulter un spécialiste de peur qu’il ne me révèle une maladie incurable.
Sur le net, ils disaient que certains massages thaïlandais pourraient aider dans ma situation et il m’a fallu du temps pour en dénicher un salon de massages qui offrait ce genre de services. L’endroit ne semblait pas réglementaire mais semblait chic, propre et très bien fréquenté. La prestation de la jeune masseuse a été très performante mais pas assez convaincante pour mon organe resté paresseux.
La déprime renforce encore plus mon impuissance, calme toute envie et éteint tout désir que je pourrais avoir. Et même si je suis encore dans la puissance de l’âge, je me sens déjà très vieux.